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La confiance en soi

Clé de la création authentique
#CléPourGagner

#CléPourGagner

Pourquoi la confiance en soi est-elle si essentielle ?

Vous est-il déjà arrivé de vous retenir d’agir par peur de ce que les autres pourraient penser ? Une occasion se présente, mais une petite voix intérieure vous murmure : « Et si je ne suis pas à la hauteur ? Et si on me juge ? Mais qu’est-ce que les gens vont dire ? » Ce dilemme, nous l’avons tous rencontré à un moment ou un autre de notre vie. Que ce soit dans le cadre professionnel, social ou même personnel, le regard des autres peut rapidement devenir un obstacle invisible, mais puissant, qui nous empêche d’agir.

Qu’est-ce qui différencie réellement ceux qui osent de ceux qui restent dans l’ombre ? Est-ce simplement une question de talent, de chance ou d’intelligence ? Ou bien s’agit-il de quelque chose de plus profond, plus subtil ? Une chose est certaine : ceux qui osent, qui créent et qui avancent ont tous une chose en commun – une confiance, parfois fragile, mais suffisamment forte pour les pousser à agir malgré la peur et le doute.

Dans la vie, le manque de confiance en soi agit comme un frein puissant à nos ambitions et à nos projets. C’est une barrière invisible qui nous pousse à nous questionner sur notre légitimité, sur notre capacité à accomplir ce que nous rêvons de faire. Mais ce frein n’est pas une fatalité. La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de transformer cette impression de légitimité en un moteur puissant pour avancer et créer, sans être paralysé par le regard ou l’avis des autres. Agir, même face à la peur, est souvent la clé pour gagner en confiance et s'affranchir de cette prison mentale.

#Légitimité

#Légitimité

La légitimité dans l’acte de faire : Qu’est-ce qui nous en empêche ?

Le sentiment d’illégitimité est un poids que beaucoup portent sans même en avoir conscience. C’est cette petite voix intérieure qui nous murmure que nous ne sommes pas à notre place, que ce que nous avons à dire ou à créer n’a pas de valeur, ou que d’autres le feront mieux que nous. Mais d’où vient cette impression ? Pourquoi nous sentons-nous parfois si peu légitimes dans nos propres actions ?

Le regard des autres joue un rôle majeur. Dès le plus jeune âge, nous sommes conditionnés à rechercher la validation extérieure. « Est-ce que c’est bien ? Est-ce que j’ai réussi ? » Ces questions qui résonnent dans notre esprit sont le reflet de cette quête de légitimité. Ces expériences laissent des traces et influencent la manière dont nous nous percevons en tant qu’adultes. Chaque jugement reçu, chaque comparaison nous a poussé à croire que notre valeur dépendait de l’avis extérieur. Et cette croyance nous pousse à douter de notre légitimité à « faire », à nous engager pleinement dans l’action. Mais qu’est-ce que la légitimité, au fond ?

Prenons l'exemple d'une personne qui hésite à se lancer dans un nouveau projet professionnel. Elle se sent capable, mais doute de sa légitimité. « Suis-je assez qualifié(e) ? », « Que vont dire mes collègues ou mes proches ? » Ces pensées sont le résultat d'une perception biaisée de la légitimité, qui repose sur l'opinion des autres plutôt que sur une évaluation personnelle.

La légitimité est avant tout une perception subjective. Elle n’est pas liée à une compétence ou à un diplôme, mais à la manière dont nous nous percevons dans le monde. Si nous croyons en notre droit d’agir, nous créons alors un espace où nous sommes libres d’essayer, d’expérimenter, et de réussir ou de nous tromper, sans que cela n’entame notre estime de nous-mêmes.

La sophrologie, avec ses exercices d’auto-affirmation, peut être un outil précieux pour déconstruire cette vision erronée. On peut progressivement réapprendre à se centrer sur ses propres compétences et aspirations, plutôt que sur l’approbation extérieure. Un exercice simple consiste à se visualiser dans une situation où l'on doute de sa légitimité et à inverser cette perception en s'imaginant pleinement confiant(e), légitime dans son rôle. Avec la répétition, cette nouvelle image de soi s’installe et devient réalité.

#Liberté

#Liberté

Faire pour soi, pas pour les autres : Libérer la création des attentes extérieures

« Faire pour soi » semble être un conseil évident, mais combien d’entre nous parviennent réellement à l’appliquer dans leur quotidien ? Dans une société où le jugement d’autrui, amplifié par les réseaux sociaux, est omniprésent, il devient difficile de se détacher du regard des autres.

Pourtant, la véritable libération dans l’acte de création survient lorsqu’on parvient à se détacher des attentes extérieures. Tant que nous créons pour plaire aux autres, nous nous plaçons dans une situation d’inconfort constant, car nous ne maîtrisons jamais vraiment la manière dont nos actions seront perçues. C’est comme essayer de construire une maison sur un sol instable : impossible de trouver un appui solide tant que nous n’avons pas compris que la seule opinion qui compte réellement, c’est la nôtre.

Prenons l’exemple d’une personne qui hésite à partager ses créations artistiques en ligne. La peur des commentaires négatifs, des moqueries ou du rejet est souvent un frein majeur. Pourtant, en se concentrant sur le plaisir qu’elle retire de la création elle-même, et non sur la réaction du public, cette personne peut transformer son approche. L’art, comme toute forme d’expression personnelle, doit d’abord être un acte tourné vers soi.

Faire pour soi signifie accepter que la valeur de ce que nous créons ne repose pas dans l’approbation extérieure. Qu’il s’agisse d’une œuvre d’art, d’un projet professionnel ou d’une simple initiative personnelle, l’important est que cet acte de création résonne avec qui nous sommes. Comme le disait Jiddu Krishnamurti, « La véritable liberté est intérieure ». Cette liberté s'acquiert en lâchant prise sur les jugements extérieurs et en revenant à une démarche authentique, motivée par un besoin intrinsèque d’exprimer quelque chose de profond.

Ainsi, que les gens aiment ou non ce que nous faisons, cela ne nous regarde pas vraiment. Ce qui compte, c’est de faire, de créer avec tout ce que nous avons, tout en restant fidèle à soi-même. Gandhi disait : « Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde ». Cette phrase, qui inspire tant de gens, est un appel à l’authenticité, à agir selon nos propres convictions, et non à attendre l’approbation extérieure pour agir.

Un exercice que vous pouvez pratiquer consiste à prendre un moment pour vous recentrer sur vos sensations après avoir accompli une action importante. Fermez les yeux, respirez profondément et interrogez-vous : « Comment je me sens maintenant ? Suis-je satisfait(e) de mon action, indépendamment des retours extérieurs ? »

"BrenéBrown

"BrenéBrown

Accepter l’imperfection : Le chemin vers l’authenticité

Un autre obstacle majeur à la confiance en soi est la quête de perfection. Nous avons souvent tendance à croire que si ce que nous faisons n’est pas parfait, cela n’a aucune valeur. Or, cette recherche incessante de la perfection est paralysante. Elle nous empêche d’avancer, de nous lancer, car elle place la barre si haut que nous n’osons plus franchir le premier pas.

Nous vivons dans une société où la perfection est souvent érigée en norme. Les réseaux sociaux ne montrent que les réussites, les moments de gloire, les vies sans faille. Pourtant, la réalité est tout autre : l’imperfection fait partie intégrante de l’expérience humaine. Et c’est souvent dans l’acceptation de cette imperfection que l’on trouve la véritable force.

Oui, l’imperfection est une part essentielle de tout processus de création. Ce sont nos erreurs, nos maladresses et nos imperfections qui nous permettent d’apprendre, d’évoluer et de nous rapprocher petit à petit de nos objectifs. Accepter l’imperfection, c’est se libérer de l’angoisse de l’échec et permettre à la créativité de s’exprimer librement. Comme le disait Léonard de Vinci : « L’art n’est jamais fini, seulement abandonné ». Cette citation nous rappelle que tout acte de création est un processus en mouvement et que le perfectionnisme est souvent une illusion qui freine plus qu’il ne sert.

Brené Brown, chercheuse spécialisée dans la vulnérabilité, a largement démontré que l’acceptation de nos imperfections est le premier pas vers une vie plus authentique et épanouie. Lorsqu’on s’autorise à être vulnérable, à montrer nos failles, on se libère du fardeau de la perfection.

« La paix intérieure vient lorsqu’on s’accepte tel que l’on est, sans conditions » Brené Brown

Mais comment accepter cette imperfection dans un monde où l’échec est souvent perçu comme une faiblesse ? En sophrologie, cette notion est d’ailleurs au cœur de nombreux exercices. Elle invite à se reconnecter à soi-même, à ses ressentis, sans jugement. Elle aide à cultiver une bienveillance intérieure, qui permet de mieux accepter ses imperfections et de les voir non pas comme des défauts, mais comme des opportunités d’apprentissage.

#CheminImportant

#CheminImportant

La valeur de l’effort : un chemin vers la découverte de soi

Dans un monde où tout semble axé sur le résultat, il est important de rappeler que l’effort a une valeur en soi. Faire de son mieux, sans se préoccuper du jugement ou du résultat final, est une forme de liberté. C’est dans l’effort que nous nous découvrons, que nous grandissons, bien plus que dans le résultat. L’idée ici n’est pas d’ignorer l’importance du résultat, mais de comprendre que le véritable épanouissement vient du fait d’avoir donné le meilleur de soi-même, indépendamment de l’issue.

Lorsque nous nous concentrons sur l’effort, nous faisons de chaque étape un moment d’apprentissage et de croissance. Le processus devient alors aussi important que le résultat, voire plus. Cette approche libère de la pression du succès ou de l’échec, et nous permet de rester focalisés sur ce qui est vraiment important : l’évolution personnelle et la satisfaction d’avoir donné le meilleur de soi-même.

« Le chemin par lequel on passe est plus important que l’endroit où l’on va »

Prenons l’exemple d’une personne qui décide d'apprendre à jouer d’un instrument de musique. Au début, les difficultés sont nombreuses : les fausses notes, les moments de découragement, la lenteur des progrès. Mais peu à peu, à force de persévérance, cette personne découvre non seulement une nouvelle compétence, mais aussi une nouvelle façon de s’exprimer, de ressentir la musique. L’effort l’aura transformée bien au-delà de la simple maîtrise de l’instrument.

#CritiqueObjective

#CritiqueObjective

Les critiques ne nous définissent pas : L’art de ne pas plaire à tout le monde

Une des peurs les plus fréquentes, qui freine beaucoup de gens, est la peur des critiques. Nous redoutons le regard des autres, leurs jugements, leurs commentaires. Pourtant, elles peuvent devenir de puissants leviers de transformation lorsqu’elles sont perçues différemment. Plutôt que de voir dans la critique une menace, pourquoi ne pas la considérer comme une opportunité d’apprendre et de s’améliorer ? Il est essentiel de comprendre que les critiques, positives ou négatives, ne nous définissent pas. Elles reflètent souvent davantage la perception de l’autre que notre véritable valeur.

Dans un monde où les gens ont une opinion sur tout, il est impossible de plaire à tous. Il est donc inutile de chercher à éviter les critiques. L’important est de rester centré sur soi-même, sur ses valeurs et sur ses objectifs. Accepter que certaines personnes ne nous apprécient pas ou ne comprennent pas ce que nous faisons est une clé pour avancer en toute sérénité.

Prenons l’exemple d’une personne qui reçoit une critique sévère sur un projet sur lequel elle a travaillé dur. Plutôt que de se sentir blessée ou de se défendre, elle choisit de prendre du recul et d’analyser objectivement ce que cette critique peut lui apporter. Peut-être y a-t-il des éléments constructifs à en tirer ? Peut-être que cette critique met en lumière une amélioration potentielle qu’elle n’avait pas envisagée ?

Marshall B. Rosenberg, dans sa pratique de la communication non violente, mettait en avant l’importance de comprendre les besoins cachés derrière les critiques. Plutôt que de les prendre personnellement, nous pouvons apprendre à voir les critiques comme une opportunité d’échange et de compréhension mutuelle, tout en restant fidèles à nos propres choix et à notre propre chemin.

ConfianceEnSoi

ConfianceEnSoi

Conclusion : S’engager pleinement dans l’action

La confiance en soi est un chemin, pas une destination. Elle se cultive chaque jour, à travers des actes, des prises de conscience, et un engagement envers soi-même. S’affranchir du jugement des autres est un défi de taille, mais c’est aussi un voyage vers une plus grande liberté personnelle. En travaillant sur la légitimité, en acceptant l’imperfection, en valorisant l’effort et en transformant les critiques en opportunités, chacun peut apprendre à avancer malgré la peur du regard extérieur. En apprenant à se détacher du jugement des autres, à accepter ses imperfections et à se concentrer sur l’effort plus que sur le résultat, nous pouvons nous libérer des freins qui nous empêchent d’avancer.

Alors, la prochaine fois que vous hésitez à faire ce que vous avez envie de faire, souvenez-vous que la seule chose qui importe vraiment, c’est d’agir. Faites de votre mieux, avec authenticité, et laissez les autres penser ce qu’ils veulent. L’important, c’est que vous, vous soyez fier(e) de ce que vous avez accompli.

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